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Les voix chères qui se sont tues

Souvenirs des fêtes d'autrefois

Lecture théâtralisée avec chansons

Noël, le jour de l'an, les Rois, nous y revoilà.... Et en été, la Saint-Germain, la mi-août, la Saint-Gilles, nous y revoilà... Les fêtes ponctuent le rythme de l'année, mariages et baptêmes ponctuent le rythme de la vie.

Les voix chères qui se sont tues (souvenirs des fêtes d'autrefois) a été créé à partir des enregistrements sonores d'habitants de la Hague, réalisés par Floriane Anger-Valognes, directrice du manoir du Tourp, d'extraits de correspondances, d'extraits du livre Souviens-toi et souris de Félix Damourette, ancien notaire à Sainte-Croix-Hague, de recueils de témoignages. Les lecteurs ont fait revivre les paroles anciennes qui révèlent les habitudes, les coutumes, les croyances d'un territoire qui conserve intactes ses traditions. Le spectacle fait revivre les fêtes de famille, Noël, les Rois et les mariages. Il intègre des chansons liées à ces occasions.

  • Mais pour se marier, il faut quand même bien se rencontrer et se parler...
  • Le dimanche, après les vêpres et avant de traire, on avait le temps de faire une promenade d'une heure et demie. Quand on allait traire, on se rencontrait.
  • On s'écrivait. Certains mettaient des petits papiers dans les côtis, dans les fougères.
  • Une fois, j'avais écrit un papier pour une et c'est une autre qui est tombée dessus...
  • Plus de la moitié des gens avaient des vaches. Même les femmes de pêcheurs avaient deux ou trois vaches. Donc tout le monde circulait pour aller traire, pour aller porter le lait et on pouvait se parler.
  • À chaque mariage, la fille avait un cavalier qui était désigné. Il y avait un garçon d'une famille qui avait comme cavalière une fille de l'autre famille. C'était aussi une façon de faire connaissance entre personnes qui ne s'étaient jamais rencontrées avant.
  • Je vais vous parler franchement, c'était pas un mariage à tout casser parce que sa mère voulait pas que je la fréquente. Il y avait quand même un froid. J'étais trop ordinaire. Elle aurait préféré un gros cultivateur ou quelque chose comme ça.
  • C'était surtout la terre et les vaches qui mariaient à cette époque-là. Si une fille avait une vingtaine de vaches et si dans les parages un garçon avait à peu près une vingtaine de vaches aussi, on disait : « ça serait bien...»
  • Une orange, une barre de sucre d'orge et une poignée de marrons. Le sucre d'orge, c'est une barrette. Il y en avait de plusieurs tailles. Mais c'est bon, ce petit machin-là. Maman me mettait aussi des fois un petit mouchoir de poche. Fleuri.
  • Quand on était plus grands, on avait des mouchoirs ou des choses comme ça. Des choses utiles.
  • Moi je ne l'aimais pas le sucre d'orge, alors j'étais bien servie ! Une orange et c'est tout. Le sucre d'orge, il restait dans le coin. Un beau jour il se mettait à couler. Alors on le jetait.
  • Ta mère aurait quand même pu le manger !
  • Mon frère avait eu un petit clairon qui me faisait une envie... Une espèce de petite trompette. C'était pour lui. Mais quand j'avais l'autorisation de m'en servir...
  • On n'avait pas beaucoup de jouets parce qu'on n'avait pas trop les moyens... on avait une poupée quand même.
  • Autrement, des revues, un journal, Bécassine, La semaine de Suzette.
  • Avec Noël, le jour de l'an et les Rois, on avait trois oranges. On était mieux servis que beaucoup.
Contact : Alain Benoist
06 81 48 41 89
alain.benoist45@gmail.com
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