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Le souffle de la harpie
Contact : Alain Benoist - 06 81 48 41 89 - alain.benoist45@gmail.com
Aello est une compagnie de théâtre amateur de Cherbourg-en-Cotentin. Dans la mythologie grecque, Aello, qui signifie « la bourrasque », « l’ouragan », est une des trois Harpies, filles d’Electre et de Thaumas, divinités de la dévastation et de la vengeance divine. Malgré cette référence orageuse et belliqueuse, la compagnie ne cherche pas à balayer la scène d’un quelconque souffle dévastateur mais simplement à mélanger le plus étroitement possible les genres : faire rire, mais aussi inquiéter, déconcerter, interroger dans la même impulsion. Depuis sa création en 1998, la compagnie a monté onze pièces qui explorent plusieurs combinaisons possibles du rire et des grincements de dents, du comique, de la satire et du burlesque.
A l'écoute des voix du passé
Depuis la saison 2018-2019, la compagnie poursuit un projet d'exploration du passé de la Hague à travers les témoignages de ses habitants, des articles de presse, des livres de souvenirs, des correspondances privées. Lectures théâtralisées, animations, exposition concrétisent ce travail.
On ne se regardait pas est une interrogation sur l'image des femmes de la Hague avant les grands changements de années cinquante : la mécanisation de l'agriculture, l'amour libre, entre l'arrivée de l'électricité et celle de l'eau courante.
Mais aussi au moment où Lucien Goubert, Gustave Bazire et Jean-Baptiste Le Goubey sillonnaient la campagne avec leurs appareils photos. On ne se regardait pas, disent-elles, mais certains ont commencé à les regarder et à diffuser leur image. C'est une chose d'être photographiées endimanchées à la sortie d'un mariage, mais c'est une expérience un peu plus perturbante d'être reproduite sur des cartes postales pour illustrer la Normandie pittoresque...
Le spectacle n'est pas une reconstitution historique ou folklorique. En fait, c'est du théâtre. C'est-à-dire du jeu. Le projet a reçu une aide du conseil départemental de la Manche dans le cadre du soutien aux pratiques amateur ce qui nous a permis d'être accompagnés par Fabrice Hervé de la compagnie Tourner la page.
Le souffle de la harpie
Contact : Alain Benoist - 06 81 48 41 89 - alain.benoist45@gmail.com
On ne se regardait pas est une interrogation sur l'image des femmes de la Hague avant les grands changements de années cinquante : la mécanisation de l'agriculture, l'amour libre, entre l'arrivée de l'électricité et celle de l'eau courante.
Mais aussi au moment où Lucien Goubert, Gustave Bazire et Jean-Baptiste Le Goubey sillonnaient la campagne avec leurs appareils photos. On ne se regardait pas, disent-elles, mais certains ont commencé à les regarder et à diffuser leur image. C'est une chose d'être photographiées endimanchées à la sortie d'un mariage, mais c'est une expérience un peu plus perturbante d'être reproduite sur des cartes postales pour illustrer la Normandie pittoresque...
Le spectacle n'est pas une reconstitution historique ou folklorique. En fait, c'est du théâtre. C'est-à-dire du jeu. Le projet a reçu une aide du conseil départemental de la Manche dans le cadre du soutien aux pratiques amateur ce qui nous a permis d'être accompagnés par Autrefois, la Hague. Au coin du jeu
Comment s'éclairaient, se chauffaient, cuisinaient les Haguais de l'ancien temps ?
Animation théâtrale pédagogique et ludique pour des lieux non dédiés : médiathèques, salles des fêtes, lieux patrimoniaux...
Pour apprendre et s'amuser.
Dispositif technique très léger pour s'adapter au différents lieux.